Ceinture de plomb
Le plomb sert a lesté un plongeur.
A cause de la pousse d'archimede un plongeur resterai en surface est ne jamais couler. Donc pas de noyade
Le lestage en plongée doit être choisi en fonction de la combinaison et de la profondeur à laquelle nous souhaiterons évoluer.
Il faut prendre l'équivalent de 1/10e de son poids, lorsque qu'on utilise une combinaison de 5 mm d'épaisseur, dans l’eau de mer et être équipé d’une bouteille de 12 L.
Trois niveaux de flottabilité sont ainsi ciblés :
> flottabilité positive : je flotte ;
> flottabilité négative : je coule ;
> flottabilité neutre : je suis en situation d’apesanteur dans l’eau, je ne coule pas.
Plus on plonge profond, plus la combinaison se compresse. Ce qui engendre une perte de flottabilité et une réduction de la protection thermique
Parachute de palier
Le parachute est avant tout un outil de sécurité. Il sert à signaler des plongeurs en immersion, particulièrement lorsqu’ils sont au palier. Lancer un parachute permet à la sécu-surface de les surveiller et aux autres bateaux de les éviter.
L’intérêt augmente en cas de dérive due au courant et(ou) au courant. Le bateau peut alors visuellement suivre les différentes palanquées. Deux parachutes côte à côte ou un parachute agité vigoureusement peuvent aussi signaler au bateau une demande d’assistance. Le parachute présenté sur les photos peut supporter deux plongeurs fatigués équipés.
Les dangers du parachute
Son utilisation, si elle n’est pas maîtrisée, représente un danger. Un parachute mal lancé peut facilement se transformer en ascenseur :
- Si on gonfle modérément un parachute de 18 litres depuis 10 mètres son volume va doubler une fois arrivé en surface (autant que sa capacité le permet).
Et si par exemple il se prend dans nos palmes, il peut nous soulever comme une fourmie et nous envoyer en surface en quelques secondes sans que nous ayons le temps de réagir. Et ce d’autant plus facilement que le phénomène va être amplifié par l’air emprisonné dans la stab ou la combinaison étanche. Et si nous n’évacuons pas parfaitement l’air contenu dans vos poumons, vous imaginez les dégâts induits par la surpression.
Manomètres, Profondimètres, Ordinateur de plongée,
Le manomètre immergeable :
- C'est un appareil destiné à mesurer tout au long de la plongée la pression de l'air contenu dans les bouteilles.
Son fonctionnement est basé sur le tube de Bourdon .
Il est branché sur la sortie Haute pression dite HP du premier étage du détendeur par l’intermédiaire d’un tuyau d’une petite centaine de centimètre.
Le manomètre doit être gradué de 0 à 300 bars de 10 en 10 bars.
Des graduations jusqu’à 400 bars sont parfaitement inutiles et sont au détriment de la lisibilité des pressions basses. Le critère de lisibilité et de la distinction de la zone de réserve est important lors de l’achat d’un manomètre. Il est relié au 1er étage par un tuyau HP dont on doit surveiller le bon état.
Il est beaucoup plus fiable qu'une réserve et permet la modification du profil d'une plongée suivant les circonstances (courants, plongée profonde etc...) par le contrôle constant de l'air résiduel.
Remarque : Une pression à 50 bars doit faire effectuer le signe conventionnel "je suis sur la réserve" qui entraîne la remontée de toute la palanquée.
- Eviter l’utilisation d’un manomètre de surface,
- Sécurise les plongées,
- Permet au guide de surveiller la consommation des membres de la palanquée,
-Permet de fixer un seuil de réserve supérieur à 50 bars
Un ordinateur de plongée permet de gérer les caractéristiques de sa plongée pour une plongée en toute sécurité.
L’ordinateur affiche à tout instant les paramètres essentiels que sont la profondeur max, le temps, mais surtout ils calculent les paliers de décompression de manière continue, ce qui est beaucoup moins pénalisant que l’utilisation des tables de décompression MN90 ou PADI.
Au lieu de considérer la plongée totale comme une plongée carrée, l’ordinateur va découper la plongée en petites intervalles de temps pour coller au plus près de la courbe réelle du profil en recalculant continuellement la saturation en azote des tissus.
Ainsi il est possible de connaitre à tout moment le temps restant dans la courbe de sécurité ou les paliers et les temps associés.
Les autres paramètres gérés par les ordinateurs :
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Température l’eau
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Temps restant de désaturation des tissus avant de prendre l’avion
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Altitude
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Vitesse de remontée avec alarme
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Gestion de l’air
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Stockage de plusieurs profiles éventuellement téléchargeable sur ordinateur
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Possibilité de définir des profiles paramètres plus pénalisant pour le calcul des paramètres
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Gestion des mélanges NITROX ou TRIMIX
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Choisir son modèle de décompression
Eclairage, Couteau, Compas.
Les lampes et les phares de plongée utilisés en plongée de nuit sont aussi très utiles en plongée de jour. Dès que l’on s’immerge l’intensité et les couleurs diminuent avec la profondeur :
- A 40 mètres, il fait sombre et les couleurs se limitent au bleu. La lampe ou le phare apportent un plus pour l’observation de la faune et la flore sous-marine en révélant leurs couleurs. De plus, en éclairant sous les roches, on y découvre aussi une faune cachée.
Plusieurs technologies d’éclairage existent et le
choix se fera en fonction de la température de la
couleur émise, de la luminosité, de leur durée de vie
et de leur autonomie.
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La lampe halogène :
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température de couleur plutôt élevée dans les blancs,
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forte intensité lumineuse,
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durée de vie limitée des ampoules,
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autonomie faible,
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coût limité, la lampe chauffe
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La lampes HID :
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Ampoule chère, forte luminosité, autonomie faible,
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La lampe chauffe,
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Blanc idéal pour la photographie sous-marine
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La lampes à LED :
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Durée de vie des ampoules « à vie », la lampe peut-être utilisée hors d’eau car elle chauffe peu, bonne autonomie, température de blanc plus froide que la lampe HID parfois compensé par une led rouge, faisceau étroit. Un minimum de 4 LED est nécessaire, 6 LED est parfait pour un bon éclairage.
Il existe dans le commerce des petites lampes clignotantes à accrocher à son équipement qui sont intéressantes pour les plongées de nuit pour mieux repérer le guide de palanquée.
Savoir s’orienter et se repérer sous l’eau est un élément de sécurité et la boussole y contribue. Il existe :
-Des modèles à visée,
-Des modèles à fixer au bras ou à accrocher au gilet stabilisateur.
Les indications de la boussole doivent être parfaitement lisibles.
Sur le marché des boussoles électroniques directement disponible sur l’ordinateur de plongée ou indépendantes.
Plus qu’une boussole, elles peuvent vous aidez calculer à tout moment le cap à prendre pour revenir au bateau.
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